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MAXWELL, EDWARD, architecte, né le 31 décembre 1867 à Montréal, fils d’Edward John Maxwell, marchand de bois, et de Johan Macbean ; le 15 décembre 1896, il épousa à Postdam, New York, Elizabeth Ellen Aitchison, et ils eurent quatre enfants ; décédé le 14 novembre 1923 à Montréal.
Edward Maxwell était le petit-fils, du côté paternel, d’un menuisier et charpentier écossais qui avait immigré à Montréal en 1829. Son père, Edward John, constructeur, fonda la E. J. Maxwell and Company en 1862 ; cette entreprise spécialisée dans la vente au détail de bois franc appartiendrait à la famille jusque dans les années 1970. Edward et son seul frère, William Sutherland, opteraient tous deux pour la profession d’architecte. Au moment où Edward commença sa carrière, dans les années 1880, aucun établissement d’enseignement au Canada n’offrait de programme d’études en architecture, et les États-Unis comptaient seulement quelques écoles professionnelles. Après avoir obtenu son diplôme de la High School of Montreal à l’âge de 14 ans, Edward suivit donc la tradition et entama son apprentissage auprès d’un architecte local, Alexander Francis Dunlop. Cependant, cette formule n’était pas du tout satisfaisante. En 1891, un membre éminent de la profession à Montréal, Alexander Cowper Hutchison, déclarerait devant des collègues que « jusqu’[alors], l’étude de l’architecture dans n’importe lequel de [leurs] bureaux a[vait] été plus ou moins une blague ». Afin de combler ses lacunes, Edward Maxwell se rendit à Boston, alors capitale de l’architecture aux États-Unis. À Brookline, en banlieue de la ville, se trouvaient les domiciles et bureaux du plus célèbre architecte américain, Henry Hobson Richardson (qui mourut en 1886), et de son collaborateur régulier, l’architecte paysagiste Frederick Law Olmsted. Dès 1888, Maxwell travaillait au cabinet Shepley, Rutan, and Coolidge, qui menait à terme les ouvrages inachevés de Richardson. Il y demeura jusqu’en 1891. Comme d’innombrables jeunes architectes de l’époque, il fut profondément influencé par Richardson.
À l’automne de 1890 se tint un concours en vue de la sélection des plans du nouvel édifice du Bureau de commerce de Montréal. Les architectes locaux furent consternés d’apprendre que six cabinets américains avaient été invités à présenter des projets pour lesquels 300 $ de frais seraient remboursés à chacun, alors qu’aucun des cabinets canadiens n’avait été sollicité et que, si l’un d’eux souhaitait prendre part au concours, il ne recevrait pas d’indemnité. Cette injustice tourna à l’avantage de Maxwell puisque le cabinet Shepley, Rutan, and Coolidge reçut la commande et, en 1891, l’envoya à Montréal superviser le chantier. Admis la même année à l’Association des architectes de la province de Québec, Maxwell ne tarda pas à se faire remarquer par la puissante élite montréalaise des affaires. Dès l’année suivante, il avait quitté le cabinet Shepley et ouvert son propre bureau ; toutefois, il continuerait à superviser la construction du Bureau de commerce. Jusqu’à sa mort, les industriels, les magnats du transport et les financiers de la ville formeraient l’essentiel de sa clientèle.
Le premier édifice commercial que Maxwell eut à créer était important. Il s’agissait d’un bâtiment de quatre étages qui abriterait le magasin et le bureau de Henry Birks. Construit de 1892 à 1894, il se trouvait au square Phillips, dans ce qui allait bientôt devenir le nouveau quartier montréalais du commerce de détail. On ne s’étonnera guère de la forte ressemblance de l’édifice Birks avec le siège du Bureau de commerce de Montréal, où la manière néoromane de Richardson se mariait aux influences de la Renaissance italienne qui avaient surgi dans les années 1880 sous l’impulsion du bureau d’architectes new-yorkais McKim, Mead, and White. Dans l’ensemble, pour les ouvrages commerciaux qu’il réalisa dans les années 1890 – notamment le magasin Birks, avec ses ouvertures à arc de plein cintre, ses pierres riches en couleur et en texture et sa lourde corniche en saillie –, Maxwell suivit le modèle appris chez Shepley, Rutan, and Coolidge.
Habile dessinateur, William Sutherland Maxwell s’initia à l’architecture au bureau de son frère dans les années 1890 puis, à l’exemple d’Edward, il alla à Boston. De septembre 1895 à mai 1898, il travailla chez Winslow and Wetherel, bureau d’architectes réputé aussi bien pour ses grands hôtels et immeubles commerciaux que pour ses maisons. Il tira davantage profit d’un séjour à Paris auprès de Jean-Louis Pascal, directeur de l’un des principaux ateliers associés à l’École des beaux-arts. Dans la période comprise entre l’automne de 1899 et son retour à Montréal à la fin de 1900, il apprit à appliquer les normes de conception logiques et systématiques prônées par cette école et à utiliser la somptueuse ornementation inspirée de la Renaissance et du baroque qui caractérisait alors la manière française. En outre, comme il visita en 1900 l’Exposition universelle de Paris, où les arts décoratifs étaient représentés, on peut supposer qu’il vit des spécimens d’art nouveau. En 1902, il remplaça George Cutler Shattuck, l’associé d’Edward depuis 1899. Les deux frères exerceraient ensemble jusqu’au décès d’Edward en 1923.
De grandioses demeures urbaines avaient figuré parmi les premières commandes d’Edward Maxwell. De 1892 au début de la Première Guerre mondiale, son cabinet ferait les plans de plus de 30 maisons dans le Mille carré, le quartier où habitaient les Montréalais les mieux nantis, et de plus de 20 autres dans la ville adjacente, Westmount, où les frères Maxwell avaient grandi. Par leur style, ces résidences rendent compte des modes qui, tour à tour, eurent la faveur de quelques-uns des Canadiens les plus fortunés. On peut mentionner entre autres la demeure de style château construite en 1893–1894 pour Edward Seaborne Clouston*, directeur général de la Banque de Montréal, la résidence de style Queen Anne bâtie en 1894 pour son successeur, Henry Vincent Meredith, de même que la fastueuse maison inspirée du néobaroque français (1901–1902) que les Maxwell conçurent pour Charles Rudolph Hosmer, directeur du réseau télégraphique de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique.
Reflets de l’admiration de leur propriétaire pour les résidences bostoniennes et new-yorkaises de grand style, ces demeures sont importantes non seulement en tant que témoins du train de vie d’une classe sociale, mais aussi à cause de la beauté de leur ornementation intérieure ou extérieure et de leur décoration. Pour satisfaire leurs riches clients, les frères Maxwell faisaient largement appel à des artistes, artisans et fournisseurs locaux. En fait, comme le cabinet new-yorkais McKim, Mead, and White, ils devaient souvent trouver des meubles, des tentures murales, des tapis et même des antiquités pour décorer les pièces qu’ils avaient conçues. La prestigieuse firme montréalaise Castle and Son fournissait du verre coloré, du verre de plomb et du mobilier de conception raffinée pour les intérieurs. En partie pour répondre aux commandes des frères Maxwell, un des principaux groupes d’artisans d’Angleterre, la Bromsgrove Guild of Applied Arts, ouvrirait un bureau à Montréal en 1911, puis un atelier.
Les frères Maxwell étaient liés de près au milieu artistique de la ville. Edward fut longtemps membre de l’Association des arts de Montréal, avec bon nombre de ses clients fortunés. William Sutherland appartint au Pen and Pencil Club de Montréal et à la Canadian Handicrafts Guild. Il participa à la fondation de l’Arts Club of Montreal en 1912, en fut le premier président et en décora les locaux. Deux des membres du club, le peintre Maurice Galbraith Cullen* et le sculpteur George William Hill*, étaient des amis intimes des deux frères. Hill collabora avec eux de 1894 à la Première Guerre mondiale : il fit des sculptures pour les extérieurs ainsi que des boiseries et des meubles pour les intérieurs. Les frères Maxwell furent élus membres de l’Académie royale des arts du Canada – Edward en 1908, William Sutherland en 1914 – et participèrent à ses expositions (en présentant des plans et des aquarelles). Edward appartiendrait au conseil de l’académie de 1910 à 1912 et de 1915 à 1920 ; William Sutherland y serait de 1916 à 1918, de 1921 à 1923 et de 1926 à 1937.
Le bureau des Maxwell conçut bon nombre de grandes et petites maisons de villégiature. Certaines, par exemple celles de Louis-Joseph Forget*, courtier en valeurs, et de Richard Bladworth Angus, bailleur de fonds de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique et banquier, comptaient parmi les plus somptueux domaines champêtres du Canada. Construites vers 1900, elles s’inspiraient des châteaux de la Loire, tout comme le plus opulent des domaines de villégiature américains, Biltmore, en Caroline du Nord, propriété de George Washington Vanderbilt. Toujours comme Biltmore, les deux domaines canadiens – situés en pleine campagne à la pointe ouest de l’île de Montréal – comportaient des aménagements paysagers réalisés par la firme Olmsted de Brookline. Les Maxwell firent aussi les plans de maisons plus sobres qui furent bâties dans les Laurentides, certaines dans le style rustique des Adirondacks, qui était apparu plus tôt dans le nord de l’État de New York. Des maisons situées dans de chics stations balnéaires comme St Andrews, au Nouveau-Brunswick, révèlent l’influence du style à bardeaux utilisé par Richardson et ses adeptes.
Parmi les plus beaux bâtiments conçus par Edward Maxwell pour un domaine situé au bord de la mer, on trouve la grange que le président de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique, sir William Cornelius Van Horne*, possédait dans l’île Ministers, près de St Andrews. L’extérieur en bois et en pierre des champs est très joli et la charpente en bois d’œuvre, remarquable. Van Horne gardait dans ce bâtiment un troupeau primé de bovins Dutch Belted. Architecte amateur, il assista peut-être Edward Maxwell. On sait que, après avoir commencé à dessiner la maison du domaine, il sollicita l’aide de Maxwell, peut-être pour l’achever et certainement pour y faire plusieurs ajouts à compter de 1899. Edward Maxwell devait admirer le dynamique Van Horne : à son tour, il bâtit une retraite champêtre sur un terrain de 160 acres qu’il acheta en 1908 à Baie-d’Urfé, dans l’île de Montréal, et où il gardait un troupeau de race jersiaise. À l’instar de bon nombre de ses clients, il avait aussi une maison d’été à St Andrews ; appelée Tillietudlem, elle fut construite vers 1900. Toujours comme une bonne partie de leur clientèle, les deux frères Maxwell avaient des maisons dans le Mille carré à Montréal ; ils les avaient conçues eux-mêmes.
Les dirigeants de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique et de ses filiales prisaient particulièrement les talents d’architecte d’Edward Maxwell. La compagnie lui avait passé une première commande en 1897 : l’achèvement du splendide terminus de l’Ouest pour le transcontinental à Vancouver. Trois ans plus tard, Maxwell conçut une vaste annexe pour le siège social de la compagnie, la gare Windsor à Montréal. Au fil des ans, son bureau réaliserait dans tout le pays des gares et des hôtels qui seraient des points d’attraction en leur temps. Parmi les plus admirables se trouvent la gare de Winnipeg et l’hôtel adjacent, le Royal Alexandra (1904–1906), le Palliser Hotel (1911–1914) de Calgary, qui compte 350 chambres, ainsi que la tour centrale et les ailes supplémentaires (1920–1924) qui firent en sorte que l’image du Château Frontenac de Québec évoque le Canada. Par la suite, dans sa publicité, la succursale montréalaise de la Bromsgrove Guild signalerait que, à l’occasion des travaux d’agrandissement du Château Frontenac, elle avait fourni « tout le modelage pour l’ensemble de l’ornementation en bois, en fer, en bronze, en plâtre et en pierre […] de même que bon nombre de pièces d’ameublement spéciales ».
La conception de ces gares et hôtels reflète la même démarche esthétique que l’ensemble de la production des frères Maxwell : d’abord, le style pittoresque de la fin de l’époque victorienne, qu’Edward utilisa en s’inspirant des gares construites en Nouvelle-Angleterre par Richardson et ses successeurs, Shepley, Rutan et Coolidge, puis le classicisme assuré de l’École des beaux-arts qui constitua l’apport de William Sutherland à compter de son association avec son frère en 1902. Les commandes de la société ferroviaire contribuèrent à rehausser le prestige du bureau des Maxwell dans tout le Canada, mais l’arrivée de William Sutherland eut aussi son importance, car il maîtrisait des méthodes de conception et des vocabulaires architecturaux plus récents, ce qui permit au cabinet de connaître encore le succès durant le premier quart du xxe siècle. Quant à l’art nouveau, il semble avoir été trop audacieux pour la clientèle des Maxwell : on en voit seulement une touche dans les bizarres lucarnes pointues ou dans l’entrée principale et les fenêtres à arc segmentaire de la maison de campagne de Richard Bladworth Angus à Senneville (1902–1903), ainsi que dans la maison de ville à l’allure raffinée (1907–1908) qu’ils conçurent pour Richard Ramsay Mitchell à Westmount. Détail intéressant, l’exemple le plus manifeste d’art nouveau se trouve dans une soumission datée de 1903 et portant sur une résidence montréalaise pour John Kenneth Leveson Ross, fils de James Ross*, entrepreneur de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique. Cette soumission fut écartée en faveur d’un majestueux exercice de classicisme néobaroque, de sorte que la demeure, bâtie en 1908–1909, ressemble aux extrémités du Palais législatif de la Saskatchewan (1908–1912) à Regina, autre ouvrage des Maxwell.
L’emploi de la méthode des Beaux-Arts par William Sutherland fut un atout pour les frères Maxwell dans les nombreux concours auxquels ils participèrent et dans l’exécution des commandes importantes et complexes qui leur furent confiées au xxe siècle. En 1907, ils remportèrent le concours tenu pour l’édifice du ministère de la Justice et des bureaux administratifs à Ottawa ; ce concours était ouvert à tous les architectes canadiens. Même s’il ne fut jamais réalisé, leur projet rehaussa leur réputation. L’année suivante, leurs plans pour le Palais législatif de la Saskatchewan furent choisis à l’issue d’un concours international d’accès restreint, ce qui accrut encore leur prestige. Cette belle victoire fut bientôt suivie d’une autre : l’obtention de la commande d’un nouveau musée pour l’Association des arts de Montréal (rebaptisé par la suite Musée des beaux-arts de Montréal) (1911–1912). Dans la même ville et dans la même période, ils réalisèrent entre autres l’église du Messie (1906–1908) et la High School of Montreal (1912–1914). Le dernier chantier d’envergure que les deux frères entreprirent ensemble, l’agrandissement du Château Frontenac, terminé un an après le décès d’Edward, résume bien leur carrière et présente un parfait mélange de leurs talents respectifs. Fidèles au pittoresque style château du bâtiment d’origine, les ajouts, réalisés selon deux grands axes, apportèrent une harmonie toute classique aux diverses composantes.
Après la mort d’Edward, William Sutherland Maxwell prit comme associé un architecte qui travaillait déjà à leur bureau, Gordon MacLeod Pitts. Cependant, le nombre de commandes ne tarda pas à diminuer. Les deux frères se complétaient, à la fois du point de vue professionnel et du point de vue personnel. William Sutherland, le plus réservé des deux, se plaisait surtout dans la compagnie des artistes. Edward avait été un homme d’affaires averti et s’était beaucoup mêlé à la vie sociale. En 1940, William Sutherland s’installa à Haïfa, en Israël, où habitait son unique enfant, Mary Maxwell Rabbani, qui avait épousé le gardien de la foi bahâ’ie. C’est là qu’il conçut son ouvrage le plus original, un bâtiment à coupole dorée (1948–1953) pour le tombeau du Bab, lieu de pèlerinage fréquenté par les bahâ’is du monde entier. Magnifiquement situé sur les flancs du mont Carmel, cet édifice en marbre et en granit avec des arcades – quintessence du style Beaux-Arts grandiose – constituait une belle conclusion pour sa carrière. En 1951, William Sutherland, malade, rentra à Montréal, où il mourut l’année suivante.
Dans l’histoire de l’architecture canadienne, rares sont les bureaux qui ont eu autant d’importance que celui d’Edward et William Sutherland Maxwell. Bien que les deux frères soient entrés dans la profession à une époque où le pays n’offrait aux architectes qu’une formation déficiente et un piètre statut, leur cabinet atteignit la première place, en matière de taille et de réussite, dans les débuts du xxe siècle. Toujours à l’affût de la nouveauté, les Maxwell proposaient à leurs clients divers types d’édifices dans une gamme de styles en vogue. Grâce aux talents d’homme d’affaires et d’organisateur d’Edward, leur cabinet prit de l’expansion et put remplir de grosses commandes. En raison de l’aptitude de William Sutherland à travailler en équipe et de son expérience en atelier, il fut un lieu de formation important et efficace. Plusieurs dessinateurs employés par leur bureau deviendraient des architectes respectés, par exemple John Smith Archibald*, David Robertson Brown, David Huron MacFarlane, Kenneth Guscotte Rea et Charles Jewett Saxe. Le succès des frères Maxwell ne fut pas profitable uniquement pour eux-mêmes ; il rejaillit sur l’ensemble de la profession au Canada.
Les papiers d’Edward Maxwell, de son frère William Sutherland et de leurs diverses coentreprises sont conservés dans la John Bland Canadian Architecture Coll. de la Blackader-Lauterman Library of Architecture and Art, McGill Univ. Libraries (Montréal), Acc. no 2. Ils contiennent de la documentation sur plus de 700 projets et comprennent plus de 16 200 plans et dessins, ainsi que de la correspondance personnelle, des documents d’affaires, des revues, des carnets de notes, des albums, des coupures de journaux, des photographies, des échantillons de tissus et des artefacts. De nouveaux documents importants ont été ajoutés à la collection depuis la publication d’Edward & W. S. Maxwell : guide du fonds, Irena Murray, édit. (Montréal, 1986). Durant toute leur vie, les deux Maxwell furent d’avides collectionneurs de livres, surtout d’ouvrages sur l’art et l’architecture, dont des éditions rares ou limitées. On pense que la collection de William peut avoir totalisé à elle seule entre 3 500 et 4 000 volumes. Une partie de ces collections a été préservée et est répertoriée dans les Bibliothèques de Edward et W. S. Maxwell dans les collections de la Bibliothèque Blackader-Lauterman d’architecture et d’art, université McGill, Cindy Campbell et. al., compil., introd. par Irena Murray (Montréal, 1991). De nombreux documents d’archives, des photographies et des essais sur les Maxwell ont été mis sur le Web dans la collection intitulée « l’Architecture de Edward et W. S. Maxwell : l’héritage canadien », à l’adresse suivante : http://cac.mcgill.ca/maxwells/.
ANQ-M, CE601-S126, 30 avril 1861.— BCM-G, RBMS, Knox Presbyterian Church (Montréal), 9 janv. 1869.— Gazette (Montréal), 14–15 nov. 1923.— Montreal Daily Star, 14 nov. 1923.— Académie royale des arts du Canada ; exhibitions and members, 1880–1979, E. de R. McMann, compil. (Toronto, 1981).— L’Architecture de Edward & W. S. Maxwell (catalogue d’exposition, Musée des beaux-arts de Montréal, 1991).— Kelley Crossman, Architecture in transition : from art to practice, 1885–1906 (Kingston, Ontario, et Montréal, 1987).— France Gagnon-Pratte, Maisons de campagne des Montréalais, 1892–1924 : l’architecture des frères Maxwell (Montréal, 1987).— R. M. Pepall, Construction d’un musée beaux-arts : Montréal, 1912, François Ullmann, trad. (catalogue d’exposition, Musée des beaux-arts de Montréal, 1986).— « Province of Quebec Association of Architects », Canadian Architect and Builder (Toronto), 4 (1891) : 88, 90s.— The storied province of Quebec ; past and present, William Wood et al., édit. (5 vol., Toronto, 1931–1932)
Susan Wagg, « MAXWELL, EDWARD », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 2 oct. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/maxwell_edward_15F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/maxwell_edward_15F.html |
Auteur de l'article: | Susan Wagg |
Titre de l'article: | MAXWELL, EDWARD |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2005 |
Année de la révision: | 2005 |
Date de consultation: | 2 oct. 2024 |