EDDY, EZRA BUTLER, homme d’affaires et homme politique, né le 22 août 1827 près de Bristol, Vermont, fils de Samuel Eddy, cultivateur, et de Clarissa Eastman ; le 29 décembre 1846, il épousa à Bristol Zaïda Diana Arnold (décédée en 1893), et ils eurent deux fils et une fille, puis le 27 juin 1894, à Halifax, Jennie Grahl Hunter Shirreff*, et de ce mariage ne naquit aucun enfant ; décédé le 10 février 1906 à Hull, Québec, et inhumé à Bristol le 13 février suivant.

L’itinéraire d’Ezra Butler Eddy dans le monde des affaires se démarque de celui de plusieurs familles d’origine américaine attirées dans l’Outaouais à la suite de la ratification du traité de réciprocité de 1854, et associées, plus tard, à l’aristocratie du bois. Contrairement à ses compatriotes déjà bien nantis à leur arrivée, Eddy est l’exemple parfait du self-made-man. Il immigre dans la région avec peu de moyens et une bonne provision d’audace, de persévérance et d’opportunisme. Personnage fort connu mais encore mystérieux à plusieurs égards, son ascension parmi l’élite des gens d’affaires de l’Outaouais se situe dans un contexte de libéralisme économique propice aux succès rapides, aux faillites et aux recommencements.

On connaît fort peu de détails sur la vie d’Eddy avant son arrivée dans le canton de Hull vers 1854. Il aurait fait ses études à l’école publique de Bristol et commencé sa carrière dans la ville de New York en tant que commis dans un magasin. Diverses tentatives plus ou moins fructueuses dans des entreprises de produits laitiers et de fabrication d’allumettes au Vermont, entre 1847 et 1854, expliqueraient son départ pour Hull. Des liens commerciaux unissaient alors la vallée de l’Outaouais et Burlington, où Eddy aurait travaillé avant son départ du Vermont.

Peu après son installation dans le canton de Hull, Eddy entreprend la fabrication artisanale d’allumettes au soufre dans une bicoque louée de Ruggles Wright. L’entreprise revêt à ce moment un caractère familial, Mme Eddy initiant elle-même les femmes et les enfants de la région à l’emballage des allumettes à domicile. Celles-ci sont vendues dans un magasin situé près de la fabrique et distribuées dans la région par Eddy lui-même, vendeur-né selon le témoignage d’un collaborateur de longue date, George Henry Millen. Ses affaires semblent connaître un certain succès, car entre 1854 et 1862, Eddy écoule par bateaux via le canal Rideau une production qui s’est diversifiée pour inclure des seaux en bois, des planches à laver, des épingles à linge en plus des allumettes. Contrairement aux autres magnats de l’exploitation forestière de l’Outaouais, c’est par le biais du bois manufacturé qu’Eddy fait son entrée sur la scène du commerce du bois.

Profitant des difficultés qu’éprouvent les descendants de Philemon Wright* à s’adapter à l’évolution du monde des affaires, Eddy achète des propriétés foncières de cette famille, indice de la prospérité de ses entreprises. Entre le 13 octobre 1866 et le 3 mai 1872, il fait l’acquisition de plusieurs lots dans les quartiers nos 2, 3 et 4 du village de Hull, dont l’ensemble de l’île Philemon particulièrement bien située près des chutes des Chaudières. Sa première percée dans le commerce du bois scié date de cette époque, et survient après qu’il eut loué une scierie de la famille Wright. Les investissements qu’il fait dans le domaine, au moment où existe une forte demande pour le bois de toutes sortes, semblent rentables, car au début des années 1870, Eddy a accumulé suffisamment de capital pour acquérir des concessions forestières et construire sa propre scierie près de la fabrique d’allumettes. Sa progression est alors vertigineuse. Entre 1870 et 1880, sa production de bois scié oscille entre 50 et 75 millions de pieds annuellement et le nombre de ses scieries passe à quatre, ce qui en fait l’un des producteurs les plus importants de la vallée de l’Outaouais.

À tous points de vue, les années 1870 sont capitales dans la carrière d’Eddy. Facilitée par les mesures législatives en vigueur, l’acquisition des concessions forestières à l’encan public s’avère pour lui une aubaine. La croissance de ses entreprises et l’accès à un certain capital emprunté de « ses amis d’Ottawa » lui permettent de profiter de cette conjoncture favorable. En 1873, au seuil de la dépression internationale provoquée par l’effondrement des marchés américain et britannique, Eddy détient des permis de coupe sur plus de 1 412 milles carrés de concessions situées le long des rivières Dumoine, Coulonge, Gatineau, du Lièvre et des Outaouais. Pour approvisionner ses chantiers, il est également propriétaire d’au moins une ferme au village de Fort Eddy. Il est difficile de cerner jusqu’à quel point sa carrière politique provinciale lui aura servi dans l’acquisition de ses concessions. On peut toutefois remarquer qu’elle coïncide avec la période d’expansion de ses concessions forestières.

Déjà connu dans le canton de Hull en tant qu’employeur principal de la population locale, Eddy se présente en 1871 à la succession de Levi Ruggles Church*, député conservateur d’Ottawa à l’Assemblée législative de la province de Québec depuis 1867. Élu député au sein du Parti conservateur, alors au pouvoir, avec une majorité de 777 voix sur son adversaire libéral Charles Leduc, Eddy fait un séjour de courte durée en politique. Il perd son siège en 1875 au profit de Louis (Roch) Duhamel, conservateur, tandis qu’il se présente en tant qu’indépendant. Trois faits contribuent à cette défaite : l’agitation entourant l’érection de Hull en municipalité, la situation politique provinciale et l’évolution démographique de la circonscription d’Ottawa, devenue entre-temps majoritairement francophone. Fidèle à ses antécédents d’individualiste en affaires, Eddy semble peu sectaire. « Accordant peu de poids à la théorie politique », selon ses propres termes, il a des préoccupations d’ordre pratique : ses intérêts et ceux de sa circonscription. Pendant quatre ans, il cumule les fonctions de maire du canton de Hull et de député provincial. À l’Assemblée législative, Eddy joue un rôle d’arrière-plan, accordant son appui au gouvernement de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau* (1867–1873), puis à celui de Charles-Eugène Boucher* de Boucherville (1874–1878). Souvent absent à cause de ses affaires, il siège surtout en tant que maire du canton de Hull voué aux intérêts autonomistes des habitants du bas du canton qui désirent la scission d’avec le canton par l’érection en municipalité. Il présente le projet de loi créant la cité de Hull en 1875. À l’époque où les entrepreneurs de l’Outaouais ont besoin de voies d’accès à leurs réserves de bois, il se fait le promoteur de l’ouverture de la province aux capitalistes en défendant le projet de loi sur la constitution juridique de la Compagnie du chemin de fer d’Ottawa et la vallée de la Gatineau. À cette époque, il est administrateur de la Compagnie du chemin de fer du Canada central. À l’aube des années 1880, Eddy s’est bel et bien intégré à l’élite commerciale de l’Outaouais même si sa position n’est pas encore comparable à celle des vieilles familles comme les Wright.

Mais c’est surtout en tant qu’industriel perspicace et rusé qu’Eddy laissera sa marque. La crise qui affecte le commerce du bois entre 1873 et 1880, le force à céder temporairement le contrôle de son entreprise à la Banque des marchands du Canada. Les choses semblent rétablies en 1882, année où un incendie majeur détruit presque entièrement ses installations. Pratiquement acculé à la faillite, il reconstruit, avec l’aide de capitaux empruntés à la Banque de Montréal, un complexe industriel comprenant deux scieries, une fabrique de portes et châssis, un atelier de rabotage, la fabrique d’allumettes, des forges, bureaux et entrepôts. Au moment de l’obtention du prêt, la banque force Eddy à accepter la supervision de son directeur, William Horsley Rowley, dans ses affaires financières.

À la suite de l’incendie, Eddy décide de se défaire de certaines concessions forestières éloignées et coûteuses pour ne conserver que l’approvisionnement nécessaire aux besoins de ses fabriques. En 1886, il consolide ses intérêts, constitue juridiquement une société par actions sous le nom de Compagnie manufacturière E. B. Eddy ; président de la compagnie, il a entre autres comme associés Sturgis Salmon Cusham, Rowley, Richard Reid Dobell et Thomas Beckett. Eddy commence à s’intéresser à la production de la pâte à papier ; le capital investi est estimé à 300 000 $. Il achète les droits de production de la fibre durcie que sa firme commencera à produire en 1887. Un an après Charles Riordon*, considéré comme le premier fabricant de pâte chimique selon le procédé Mitscherlich au Canada, Eddy entreprend, en 1888, la construction d’une usine de pâte au bisulfite. Dotée de quatre lessiveurs, elle entre en exploitation en décembre 1889. Eddy, toujours à l’affût des progrès techniques, contribue à améliorer sensiblement l’efficacité du procédé en construisant un lessiveur en forme de tour. La plus grande partie de sa production de pâte est alors expédiée aux États-Unis. Son esprit d’entreprise et sa perspicacité en affaires se manifestent dans la rapidité avec laquelle sa firme passe de la fabrication de la pâte à celle du papier. Eddy installe en 1890 sa première machine à papier. Il en ajoutera deux autres en 1891. Entre 1889 et 1894, Eddy et ses associés mettent en place une usine de papier équipée de cinq machines pour la production de papier mousseline, de papier impression, de papier brun, et, à partir de 1896, de papier journal. Au déclin amorcé dans la production du bois scié au début des années 1880, Eddy avait réagi en se dirigeant vers un secteur prometteur, la production de la pâte puis celle du papier. Pendant toute cette période, l’expansion de la fabrique d’allumettes se poursuit et l’on estime que « le roi des allumettes » domine le marché canadien dès 1879.

Cette nouvelle croissance des industries Eddy exigeait une expansion foncière et la mainmise sur les ressources hydrauliques nécessaires au fonctionnement des récentes installations. Entre 1888 et 1894, la compagnie entre dans une seconde phase d’acquisition de propriétés, essentiellement situées le long de la rivière des Outaouais et des chutes des Chaudières, et achetées de la famille Wright, de la ville de Hull et du gouvernement de Québec. Bien qu’Eddy se mêle à l’occasion de spéculation foncière, il semble que ce soit surtout dans le but de consolider ses entreprises. En fait, Eddy n’est pas systématiquement propriétaire des maisons de ses ouvriers. À la fin des années 1890, Eddy occupe une place prépondérante dans la production de papier au Canada.

Parallèlement à son ascension dans le monde des affaires, le pouvoir politique et l’appartenance d’Eddy à l’élite régionale s’affirment. Élu plusieurs fois échevin de la municipalité qu’il avait contribué à créer, il représente le quartier n° 3, de 1878 à 1888 et en 1891–1892, et est maire de Hull de 1881 à 1884, en 1887 et en 1891. Eddy est étroitement engagé dans la vie municipale. Il n’est pas étonnant que l’expansion de ses entreprises et celle de la cité de Hull aient été inextricablement liées. Son expérience de la scène provinciale, le rôle primordial qu’il joue dans l’économie manufacturière de Hull et la défense de ses propres intérêts en font un délégué tout désigné des différents comités chargés de conférer avec le gouvernement provincial ou les administrateurs de compagnies de barrières à péage. Intérêts politiques et financiers confondus, il arrive que l’échevin Eddy s’offre à payer les intérêts sur les débentures de la ville ou transfère des billets à ordre à la municipalité. Plusieurs améliorations apportées au réseau de distribution d’eau ou d’électricité de la ville de Hull sont ainsi tributaires des besoins communs des usines Eddy et de la population de Hull.

Éduqué dans la religion baptiste, Eddy participe activement à plusieurs œuvres philanthropiques de la communauté outaouaise. Non sectaire, il finance les établissements protestants, indépendamment des dénominations. Bien qu’à l’occasion ses largesses s’adressent également aux établissements catholiques de Hull et de la région, on ne peut s’empêcher de remarquer que c’est surtout la communauté protestante de la rive ontarienne qui bénéficie de ses contributions, en particulier l’Ottawa Ladies’ College, l’Hospice des orphelins de la cité d’Outaouais, le County of Carleton General Protestant Hospital, l’Annie Lewis Memorial Convalescent Home for Sick Children of Ottawa. Membre influent de la franc-maçonnerie, une loge portant son nom est inaugurée dans les années 1870.

Avec John Rudolphus Booth*, Eddy sera l’un des seuls entrepreneurs des Chaudières à se remettre de l’incendie majeur du 26 avril 1900 qui détruit une partie importante des sections industrielles des villes de Hull et d’Ottawa. Ses pertes sont évaluées à 3 000 000 $ dont 150 000 $ seulement auraient été remboursables par l’assurance. Reconstruites en moins d’une année, les usines Eddy fonctionnent de nouveau en décembre suivant. Il faudra attendre 1902 pour que la compagnie reprenne l’ensemble de ses activités, fournissant de l’emploi à plus de 2 000 personnes dans des scieries et ateliers de fabrication de papier, fibre durcie, allumettes, sacs de papier, seaux et cuves. À cette époque, sept machines à papier sont en service produisant 80 tonnes de papier quotidiennement. Eddy aura ainsi réussi à diversifier son entreprise et à effectuer le passage du bois scié au papier, dans un laps de temps relativement court.

Eddy meurt à Hull, le 10 février 1906, à l’âge de 78 ans. Homme au physique imposant, il se sera rendu à son bureau jusqu’à un âge avancé, contribuant ainsi à alimenter l’image presque mythique qu’il avait toujours projetée auprès de ses concitoyens d’un homme d’action, énergique, acharné au travail. En plus de son sens astucieux des affaires, ses contemporains ont vanté son opiniâtreté et son efficacité en tant qu’administrateur. À une époque où les relations entre patrons et employés sont imprégnées de paternalisme, le capitaliste Eddy sera perçu à la fois comme un bienfaiteur de la population outaouaise et un employeur intransigeant mais respecté. Arrivé sans le sou de son Vermont natal vers 1854, il laisse à son décès une fortune évaluée par ses contemporains à plus de 2 500 000 $. Entre-temps, la croissance de ses entreprises aura été constante malgré les obstacles financiers et les incendies dévastateurs. Dans le monde des industriels de l’époque, il sera reconnu comme un progressiste et un innovateur : un des premiers à utiliser l’électricité pour ses usines (1883), à employer le procédé au bisulfite (1889), à adopter le transport par camions (1905).

Selon les clauses de son testament, Eddy continuera à exercer une forme de contrôle sur la compagnie. Les principaux bénéficiaires, ses associés, devront pendant dix ans poursuivre son œuvre. Au terme de cette période, une redistribution des actions privilégie la seconde épouse d’Eddy qui doit, pour y avoir accès, renoncer à la communauté de biens. Si l’entreprise Eddy fut une entreprise familiale à ses débuts, ce n’est plus le cas en 1916. Les descendants directs d’Eddy, sa fille Ella Clarissa et son petit-fils Ezra Butler Eddy Bessey (qui changera son nom en 1912 pour celui d’Ezra Butler Eddy), sont presque absents de la succession. Une cause célèbre, qui a fait jurisprudence, avait opposé, en 1896, Eddy et sa fille unique au sujet de l’héritage laissé par sa première femme à sa fille Ella Clarissa en 1893. Le contrôle de la compagnie, les biens et immeubles d’une certaine valeur se retrouvent dans les mains de la seconde Mme Eddy et, à la mort de celle-ci en 1921, dans celles de son frère Joseph Thompson Shirreff. C’est par le biais de l’héritage de Shirreff, mort en 1926, que Richard Bedford Bennett* deviendra le principal actionnaire de la Compagnie E. B. Eddy.

Appliqué dès le début à accumuler le capital requis à l’expansion de ses entreprises manufacturières, Ezra Butler Eddy n’hésite pas à agrandir ses fabriques et à se lancer dans des domaines prometteurs au moment opportun. Avec le capital amassé dans le bois manufacturé, il se lance vers 1870 dans le domaine du bois scié puis, en 1886, effectue un virage précoce vers les pâtes et papiers, ses succès dans le commerce du bois rendant possible ce passage des allumettes au papier. Avant la constitution juridique de sa compagnie en 1886, si son cheminement semble celui d’un capitaliste individualiste, il est bien difficile de l’affirmer catégoriquement. De son vivant et jusqu’à dix ans après sa mort, Eddy demeure, selon ses propres vœux, le principal maître d’œuvre de la compagnie qui porte encore son nom.

Odette Vincent-Domey

Il n’existe aucune biographie documentée d’Ezra Butler Eddy ; ceux qui en ont parlé ont utilisé surtout les notices nécrologiques parues à sa mort. L’absence d’une collection privée d’archives à son sujet, de même que la difficulté d’obtenir accès aux archives de la compagnie Eddy – plusieurs fois victime d’incendies majeurs et qui ne possède peut-être pas grand-chose sur Eddy lui-même – sont en partie responsables de ce « mystère » entourant encore l’homme. Seuls les journaux de l’époque et quelques greffes de notaires ont pu permettre de lever le voile sur certains aspects de la vie d’Eddy.  [o. v.-d.]

AN, MG 24, D8 ; MG 26, K : 580176 ; RG 31, C1, 1851, 1861, canton de Hull, Québec ; 1891, cité de Hull, district 2.— ANQ-O, CN1-18, 8 févr. 1888, 17 juill. 1890, 4 févr. 1897, 23 févr. 1906 ; P-137.— Arch. de la ville de Hull, Procès-verbaux du conseil de la cité de Hull, 1875–1894.— Commission de la capitale nationale (Ottawa), Fonds Chaudière, 5 ; 18 ; 20.— « E. B. Eddy, magnat de l’industrie du bois à Hull », le Droit (Ottawa), 8 janv. 1972.— « Intéressant Historique de la Co. E. B. Eddy », le Prix courant (Montréal), 16 févr. 1923 : 16–23.— Ottawa Citizen, 14 août, 4 sept., 4, 31 oct. 1872, 12–13 févr. 1906.— Edgar Boulet, le Bon Vieux Temps à Hull : notes historiques sur l’Outaouais [...] (3 vol., Hull, Québec, 1971–1975), 1 : 141–143 ; 3 : 5–31.— George Carruthers, Paper-making (Toronto, 1947), 389–406.— [R.] P. Gillis, « Ottawa and Hull, 1870–1930 : a description and analysis of their industrial structure », Ottawa-Hull, perspectives spatiales et aménagement, sous la dir. de Rolf Wesche et Marianne Kugler-Gagnon (Ottawa, 1978), 13–20.— « One hundred years young : the E. B. Eddy Co. », Pulp and Paper Magazine of Canada (Gardenvale, Québec), 52 (1951) : 69–73.— Québec, Assemblée législative, Débats, 1871–1875.— Léo Rossignol, « Histoire documentaire de Hull, 1792–1900 » (thèse de ph.d., univ. d’Ottawa, 1941), 208–212.— Joseph Tassé, la Vallée de l’Outaouais : sa condition géographique, ses ressources agricoles et industrielles, ses exploitations forestières, ses richesses minérales, ses avantages pour la colonisation et l’immigration, ses canaux et ses chemins de fer (Montréal, 1873).

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Odette Vincent-Domey, « EDDY, EZRA BUTLER », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 2 oct. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/eddy_ezra_butler_13F.html.

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Auteur de l'article:    Odette Vincent-Domey
Titre de l'article:    EDDY, EZRA BUTLER
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1994
Année de la révision:    1994
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